Blague cochonne
Comment savoir qui est le meilleur coup masculin dans un camp de nudistes ?
– C’est celui qui peut transporter une douzaine de beignets sans les mains
… Et le meilleur coup féminin ?
– C’est celle qui parvient à manger le douzième beignet sans les mains.
Alors qu’il s’arrête dans une pharmacie pour s’acheter une boite de préservatifs, un jeune homme plaisante avec le pharmacien :
– Ce soir, c’est l’anniversaire de ma petite amie. Je vais lui faire un beau cadeau !
– Ah oui ?” répond l’autre, dans ce cas, vous devriez peut-être choisir ceux-ci : ils sont présentés dans un joli emballage.
– Vous n’avez pas compris, répond le jeune homme, ce sont les préservatifs qui sont l’emballage du cadeau !
Un patron est en train de besogner sa secrétaire sur son bureau.
La secrétaire demande :
– Est-ce qu’il y est là ?
Le patron répond d’un air satisfait :
– Ouais, il y est tout entier.
Alors la secrétaire :
– Ooooooh, qu’est-ce qu’il est gros…
C’est un vieux qui est atteint de la maladie de Parkinson. Il entre dans une maison très particulière, et demande à la mère maquerelle :
– Bonjour, je voudrais cinq filles, siouplait.
– Quoi ? Cinq d’un coup, non mais ça va pas ?
Et le pépé aligne alors les billets et reste planté devant la dame :
– Cinq, hein ? Bon c’est d’accord.
Le pépé monte donc avec les cinq filles. Il s’allonge sur le plumard de tout son long les bras et les jambes écartées, et il dit :
– Toi, tu m’tiens le pied gauche ! Toi, le pied droit ! Toi, le bras gauche ! Toi, le droit !… Et toi, tu montes là-dessus, là ! ! dit-il en désignant la partie la plus intime de son anatomie.
Les filles s’exécutent, et le papy fait alors :
– C’est bon, maintenant : lâchez tout !
C’est l’histoire de trois petites chattes qui ont très chaud.
Soudain elles voient une flaque d’eau en plein milieu d’une route.
La première fonce et se jette dans la flaque. Elle se fait écraser. Elle va au paradis : St Pierre lui dit : “toi, tu iras en enfer”
La deuxième fonce et met juste une patte dans la flaque avant de se faire écraser. St Pierre lui dit la même chose.
La troisième traverse et se fait écraser sans avoir touché la flaque. St Pierre l’accueille au Paradis.
Quelle est la morale de cette histoire ? “quand la chatte se mouille les saints sont durs”
C’est un anglais qui passe ses vacances en France dans un petit village et qui n’a plus de lames pour son rasoir. Il se rend chez l’épicier du coin et demande :
– Do you avoir des lames de razor ?
– Oui monsieur (et l’épicier lui tend une boite de Gilette)
– Aow, mais ce ne sont pas des Wilkinson. Vous n’avez pas Wilkinson ?
– Non monsieur, désolé. Mais les Gilette, c’est des bonnes aussi vous savez !
– Mais elles sont beaucoup inférieures à Wilkinson, this is british steel you know… Grande qualité !
Alors l’épicier lui répond :
– Écoutez bien, je peux vous assurer que les Gilette n’ont rien à envier aux Wilkinson. La preuve : l’an dernier, ma femme en a avalé une. Ça lui a fait une amygdalectomie, une ovariectomie, une hystérectomie, ça a coupé deux doigts au postier, circoncis le maire, émasculé l’instituteur… et j’ai encore pu me raser 10 fois avec après !
Un gars de la ville, sans travail et sans argent, va à la campagne chercher refuge et nourriture. En arrivant à une ferme, où bien sûr il demande abri et de quoi se remplir la panse, un fermier lui prête bonne oreille.
– Je te loge et te nourris, mais tu travailleras pour ta pitance. Autre chose de très important, j’ai deux filles, et si tu touches l’une d’entre elles, tu es mort !
Le gars de la ville accepte. Bien repu, il va dormir à la grange afin d’être frais et dispo pour le lendemain. A la première heure le fermier va le chercher et l’amène aux champs afin qu’il gagne sa pitance. Voyant les chaussures de notre citadin, le fermier n’en revient pas.
– Tu ne pourras jamais travailler avec ce genre de godasses ! Va donc dans la chambre des filles, dans la garde-robe tu trouveras des bottes : mets les et reviens vite.
En arrivant dans la chambre, et voyant les belles à demi vêtues et encore endormies, il ne peut résister et entreprends de bien servir la première des filles. N’ayant reçu pour ainsi dire pas de résistance avec la première, il ose entreprendre la deuxième. Malheur, il y a résistance, elle se met à crier :
– Tu ne peux pas faire cela mon père va te tuer.
– Mais non, dit-il, c’est lui qui m’envoie, tu vas voir…
Il va à la fenêtre, l’ouvre et crie :
– Hé le père, je les mets toutes les deux ???
Et le père répond :
– Bien sûr, innocent !