Raconte moi une blague!
Besoin d’égayer un lundi morose au taf? Voici quelques petites blagues sympas à raconter autour de la machine à café ou à envoyer par mail à vos meilleurs collègues de boulot!
A la fin d’un entretien d’embauche, le responsable des Ressources Humaines demande au candidat, un jeune ingénieur fraichement diplômé :
– Et vous aviez pensé à quel salaire de départ ?
Le jeune répond :
– Aux environs de 100 000 euros par an, négociable en fonction des avantages annexes.
– Bien, dit le responsable RH, que diriez-vous alors d’un contrat avec 5 semaines de congés payés supplémentaires dans l’année, les frais médicaux et dentaires pris en charge par la compagnie, un fonds de retraite vous permettant de prendre à 50 ans votre retraite avec un revenu équivalent à 90% de votre salaire, plus une voiture de fonction de haut de gamme changée tous les deux ans ?
Le jeune homme se dresse sur son siège, enthousiasmé :
– Waouh ! Vous êtes sérieux ?
– Non, répond l’autre. Mais c’est vous qui avez commencé !
– Bonjour ! C’est la réception ? J’aimerais parler avec quelqu’un à propos d’un patient qui se trouve chez vous. J’aurais souhaité connaître son état de santé, savoir s’il va mieux ou si son problème s’est aggravé.
– Quel est le nom du patient ?
– Il s’appelle Jean Dupont et il est à la chambre 302.
– Un instant je vous prie, je vous passe l’infirmière.
Après une longue attente :
– Bonjour, ici Françoise l’infirmière de service. Que puis-je pour vous ?
– J’aimerais connaître l’état du patient Jean Dupont de la chambre 302.
– Un instant je vais essayer de trouver le médecin de garde.
Après une plus longue attente :
– Ici le docteur Pierre Paul, médecin de garde. Je vous écoute.
– Bonjour Docteur, je voudrais savoir quel est l’état de Monsieur Jean Dupont, qui se trouve chez vous depuis 3 semaines à la chambre 302.
– Un instant, je vais consulter le dossier du patient.
Après encore une autre attente :
– Huuuumm, et bien le voici : le patient a bien mangé aujourd’hui, sa pression artérielle et son pouls sont stables, il réagit bien aux médicaments prescrits et normalement son monitoring cardiaque devrait lui être enlevé demain. Si tout continue comme ça encore 48 heures, son médecin signera sa sortie d’ici ce week-end.
– Aaaahhh ! Ce sont des nouvelles merveilleuses ! Je suis fou de joie ! Merci.
– A vous entendre, je suppose que vous devez être quelqu’un de très proche, certainement de la famille ?
– Non, monsieur ! Je suis Jean Dupont moi-même et je vous appelle de la chambre 302 ! Tout le monde entre et sort ici de ma chambre et personne ne me dit rien. Je voulais juste savoir comment je me porte.
Un inspecteur d’académie se rend dans une classe, et interroge un élève au hasard :
– Vous là, qui a cassé le vase de Soissons ?
L’élève pâlit, hésite, puis bredouille en un sanglot :
– C’est pas moi…
– Comment ? Vous ne savez pas qui…
Le professeur prend la défense de l’élève :
– Monsieur, puisqu’il vous dit que ce n’est pas lui…
– Comment ? Comment ? Vous aussi, vous ne savez pas qui…
– Ma foi non, répond le professeur, évasif.
L’inspecteur fait alors un rapport au directeur de l’établissement.
– Voyez l’état de l’enseignement, les élèves et les enseignants ne savent même pas qui a cassé le vase de Soissons !
Le directeur, ennuyé, se demande :
– Mais qui donc a cassé ce vase ?
Il adresse une requête au recteur d’académie. Ce dernier, recevant la requête, l’examine entre deux dossiers urgents et s’exclame :
– Mais quelle histoire pour un vase ! Qu’on le remplace !
Il est 8h du matin. Une voiture des Ponts & Chaussées s’arrête sur une petite route de campagne suivie de peu par une fourgonnette. 5 types descendent du fourgon, et l’un d’eux s’adresse au chef resté dans la voiture :
– Chef, on a oublié de prendre les pelles !
– Vous êtes pénibles, vraiment, les gars… Attendez, je téléphone au dépôt !
Le chef prend son combiné dans la voiture.
– Allô ? René ? Dis donc il te reste des pelles au dépôt ?
– Oui, répond le gars à l’autre bout du fil, il t’en faut combien ?
Alors le chef se retourne vers ceux de la fourgonnette.
– Combien vous êtes ?
– Cinq, répondent les autres.
– Cinq, reprend le chef au téléphone.
– Ok, lui dit le gars du dépôt, tu les auras cet après-midi.
– Merci bien, salut ! et il raccroche.
Le chef se tourne à nouveau vers ses gars :
– C’est bon, on aura cinq pelles cet après-midi !
– Ben chef ? comment on fait en attendant ?
– Je ne sais pas moi, appuyez-vous sur autre chose !
Alors qu’il se promène dans son quartier, un gars aperçoit deux cantonniers en train de faire des travaux sur le côté de la route.
Le premier homme fait des grands trous d’environ un mètre de profondeur… mais le second arrive immédiatement après et rebouche le trou !
Ensuite, les deux cantonniers se déplacent de 25 mètres, et recommencent la même manipulation.
Le promeneur, curieux, rejoint les deux travailleurs et leur demande :
– Je ne comprends pas bien ce que vous faites… Pourquoi l’un de vous fait des trous que le second rebouche aussitôt ? C’est vraiment bizarre !
Et l’un des deux cantonniers répond :
– Vous allez comprendre, c’est vraiment tout simple : normalement, nous travaillons en équipe de trois. Seulement aujourd’hui, celui qui pose les poteaux dans les trous est malade. Mais nous, nous sommes des gars consciencieux, alors on se débrouille sans lui !
Aux Etats-Unis, un gars postule pour un poste de balayeur chez Microsoft.
Le directeur des ressources humaines (DRH) le convoque pour un entretien, puis lui fait passer un test (avec un balai tout neuf). Le test est concluant. Il lui dit :
– Vous êtes engagé, donnez-moi votre adresse e-mail et je vous enverrai le formulaire rempli ainsi que la date et l’heure auxquelles vous devrez vous présenter pour commencer votre travail.
Le demandeur d’emploi, bien embêté, répond qu’il ne possède pas d’ordinateur, et donc pas d’adresse e-mail…
Le DRH lui dit alors qu’il est désolé, mais que dans une société telle que Microsoft, s’il n’a pas d’adresse e-mail, cela signifie virtuellement qu’il n’existe pas, et, puisqu’il n’existe pas, il ne peut avoir le job.
L’homme ressort, désespéré, sans savoir que faire, avec seulement 10 dollars en poche…
Il décide d’aller au supermarché et d’acheter quelques fruits avec ses derniers dollars.
Ses fruits achetés, il s’en retourne à pied chez lui quand un passant l’interpelle, et lui dit :
– Oh, je vois que vous avez de splendides fruits, je suis très pressé, est-ce que vous me les vendriez pour 20 dollars ?
L’homme, trop content de cette proposition, accepte immédiatement. Mais cela lui donne une idée, et il retourne au supermarché, et achète cette fois-ci pour 20 dollars de fruits.
Et il fait ensuite du porte-à-porte pour vendre ses fruits au kilo et, en moins de deux heures, réussit encore à doubler son capital.
Il répète l’opération encore deux fois dans la même journée, doublant systématiquement son capital de départ, et revient chez lui en fin de journée non plus avec ses 10 dollars initiaux, mais 160 dollars maintenant.
Alors, il réalise qu’il pourrait vivre de cette manière.
Tous les jours, il part de chez lui un peu plus tôt et revient un peu plus tard. Ainsi il gagne quelques centaines de dollars chaque jour.
Peu de temps après, pour se simplifier la tâche, il achète une charrette… Puis un camion.
Quelques temps après, il est obligé d’embaucher, et se retrouve avec une petite flottille de véhicules de livraison.
Cinq ans passent. L’homme est maintenant propriétaire d’un des plus grand réseaux de distribution alimentaire des États-Unis. Il pense alors au futur de sa famille, et décide de prendre une assurance vie.
Il appelle un assureur, choisit un plan d’assurance et quand la conversation prend fin, l’assureur lui demande son adresse e-mail pour lui envoyer la proposition.
L’homme lui dit alors qu’il n’a pas d’ordinateur – toujours pas – et donc pas d’adresse e-mail…
– Curieux, lui dit l’assureur, vous n’avez pas d’e-mail… Et vous êtes arrivé à construire cet empire, imaginez où vous en seriez si vous aviez un e-mail ?
L’homme réfléchit quelques instants et répond :
– Je serais balayeur chez Microsoft…
Morale de l’histoire n°1: Internet ne solutionne pas votre vie.
Morale de l’histoire n°2 : Si vous voulez être balayeur chez Microsoft, cherchez à avoir une adresse e-mail.
Morale de l’histoire n°3 : Si vous n’avez pas d’adresse e-mail mais que vous travaillez beaucoup, vous pouvez devenir millionnaire.
Morale de l’histoire n°4 : Si vous avez reçu cette blague par email ou l’avez lue sur internet, vous êtes plus proche du balayeur que du millionnaire…!
Voilà comment compte un informaticien :
– Zéro, un… zéro, un… zéro, un.
Et dans l’armée, voici comme l’on compte :
– Un, deux ! Un, deux ! Un, deux !
Et chez les fonctionnaires :
– Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix …valet, dame, roi !
Sur un gros chantier, un électricien dit à son apprenti :
– Roger, prends un de ces deux fils, s’il te plaît.
– Ça y est, j’en ai un !
– Tu ne sens rien ?
– Ben non, rien du tout…
– Ok, alors, ça doit être l’autre. Surtout n’y touche pas, il y a du 2000 volts dessus !
Un jeune policier débutant fait sa première ronde avec un collègue expérimenté.
– Nous allons aller dans une cité sensible, dit l’autre. Alors dès que tu vois un attroupement, tu les disperses pour éviter que ça dégénère. D’accord ?
Cinq minutes plus tard, le jeune policier s’écrie :
– Arrête la voiture !
Il descend en coup de vent, et fonce vers un groupe.
– Allez, allez, on ne reste pas là, on rentre chez soi !
Les autres ne bougent pas.
– J’ai dit : On rentre chez soi ! Vous préférez qu’on vous embarque ?
Tout le monde s’en va.
Fier de lui, le jeune flic remonte dans la voiture et dit à son collègue :
– Tu as vu comment je les ai dispersé, vite fait bien fait ?
– Oui. Et toi, tu as vu que c’était un arrêt d’autobus ?